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 LE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNÉ

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LE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNÉ Empty
مُساهمةموضوع: LE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNÉ   LE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNÉ Emptyالسبت 31 ديسمبر - 21:34:19

LE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNÉ






Présentation du roman
Ce
roman a été écrit par Victor HUGO en 1829, il est composé de 49
chapitres et il a 97 pages.Victor HUGO traite différents thèmes dans
cette œuvre comme la liberté ou l’absence de liberté et la peine de mort
à laquelle il s’opposait
Victor HUGO parlait ainsi de la guillotine
: « L’infâme machine partira de France, nous y comptons, et s’il plaît à
Dieu, elle partira en boitant, car nous tâcherons de lui porter de
rudes coups. »
La peine de mort fut abolie seulement en 1981
«
La peine de mort est le signe spécial et éternel de la barbarie ».
(Paroles du 15 septembre 1848). En 1851, il l’a dénoncée en plein
tribunal : « Cette vieille et inintelligente loi du talion(…) » je la
combattrai de tous mes efforts comme écrivain, de tous mes actes de tous
mes votes comme législateur, je le déclare devant cette victime de la
peine de mort qui est là, qui nous regarde et qui nous entend ! ( il
montre le Christ sur la croix ). Je le jure devant ce gibet où, il y a
deux mille ans, pour l’éternel enseignement des générations, la loi
humaine a cloué la loi divine ! » ( Paroles du 11 juin 1851 ).





LE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNÉ 4699_portrait



Biographie




Victor Hugo
(1802-1885)


Victor
Hugo est né le 26 Février 1802 à Besançon en France. Poète, romancier
et dramaturge, Victor Hugo est sans conteste l'un des géants de la
littérature française. Les romans les plus connus de Victor Hugo sont
"Notre-Dame de Paris" (1831) et "Les Misérables" (1862).

L'auteur
des Misérables, des Châtiments et de nombreux poèmes a allié à la fois
ambition, longévité, puissance de travail et génie, ce qui ne pouvait
que concourir à ce mélange de fascination et d'irritation qu'il suscite
encore aujourd'hui. I écrivait avec simplicité et puissance les bonheurs
et malheurs de la vie. Victor Hugo était un travailleur acharné.

Entre
1827 ( Préface de son drame Cromwell) et 1830 (représentation
d'Hernani, qui est l'occasion d'une célèbre «bataille»), Victor Hugo
s'affirme comme le chef du romantisme.

De 1830 à 1840, il
publie: un grand roman historique, Notre-Dame de Paris (1831) ; des
drames, Marion de Lorme (1831), Le roi s'amuse (1832), Marie Tudor
(1833), Lucrèce Borgia (1833), Ruy Blas. (1838); et surtout quatre
recueils de poésies, où il se montre maître dans l'expression lyrique
des idées et des sentiments: les Feuilles d'automne (1831), les Chants
du crépuscule (1835), les Voix intérieures (1837), les Rayons et les
Ombres (1840).

Victor Hugo est mort à Paris le 23 May 1885 à 83 ans. Plus de 3 millions de personnes ont assisté à ses funérailles..

Livres écrits par Victor Hugo

Les Misérables
Auteur: Victor Hugo

C'est
un tel classique qu'on a toujours l'impression de l'avoir déjà lu... ou
vu : avec Michel Bouquet dans le rôle de Javert, ou bien Depardieu.
Relire donc Les Misérables, publié par Victor Hugo en 1862, offre le
plaisir de la reconnaissance et du recommencement. Toujours on sera
emporté par la tension romanesque du livre, ses figures inoubliables,
ses langues multiples - n'oublions pas que Victor Hugo est le premier à
introduire l'argot et la langue populaire dans le français écrit -, ses
histoires et son temps.

Notre-Dame de Paris
Auteur: Victor Hugo

Dans
un Paris moyenâgeux, la belle Esmeralda fait battre le cœur de tous.
Mais la jeune gitane est accusée de sorcellerie et doit être pendue.
Quasimodo, le bossu au grand cœur, est prêt à se battre, envers et
contre tous, pour la sauver. Ce roman de Victor Hugo est un véritable
chef d'œuvre.


Victor Hugo, Théâtre complet
Auteur: Victor Hugo

ةdition
de Jean-Jacques Thierry et de Josette Mélèze, préface de Roland Purnal.
Tome 1 . Théâtre de jeunesse : Irtamène - ہ quelque chose hasard est
bon - Inez de Castro - Amy Robsart. Drames en vers : Cromwell - Marion
de Lorme - Hernani - Le Roi s'amuse - Ruy Blas - Appendice, 1840 pages.
Tome 2. Drames en vers (suite) : Les Burgraves - Torquemada. Drames en
prose : Lucrèce Borgia - Marie Tudor - Angelo, tyran de Padoue. Théâtre
lyrique : La Esmeralda. Théâtre en liberté : La Grand-mère - L'ةpée -
Mangeront-ils? - Sur la lisière d'un bois - Les Gueux - تtre aimé - La
Forêt mouillée. Théâtre moderne : Mille francs de récompense -
L'Intervention - Fragments - Appendice, 1936 pages. Bibliothèque de la
Pléiade (No 170), Gallimard.






LE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNÉ 4699_irdejoco%5B1%5D

Fiche pratique

Auteur :
Victor Hugo

Titre et date de publication:
Le dernier jour d'un condamne , publié en 1829.

Genre :
Récit à la première personne ; adoption des techniques de l’autobiographie, le journal intime en particulier.

Histoire :

Le
livre est l’histoire d’un homme qui a été condamné a mort et, il
raconte ce qu’il vit pendant les dernières semaines de sa vie. Nous ne
savons ni le nom de cet homme ni ce qu’il a fait pour être condamné à
mort, mais nous pouvons comprendre et vivre avec cet homme ce que veut
dire être condamnés à mort.
Il nous raconte sa vie en prison ; nous
parle de ses sentiments ; peurs et espoir, de sa famille ; sa fille, sa
femme et sa mère.
Il raconte aussi quelques bribes de son passé et cesse d’écrire quand arrive le moment de l’exécution.

Composition :

Le livre comporte trois parties : Bicêtre, la Conciergerie et la Mairie.
Bicêtre : le procès, le ferrage des forçats et la chanson ;
La
Conciergerie : le voyage vers Paris, la rencontre avec la friauche et
la rencontre avec le geôlier qui lui demande les numéros pour jouer à la
loterie ;
L’Hôtel de Ville : le voyage dans Paris, la toilette du condamné et le voyage vers la Place de Grève : l’échafaud.

Personnages :

Le condamné à mort / Les geôliers / Sa fille / Sa femme et sa mère / Le prêtre. / La foule

Cadre:

Lieux :
Les grandes prisons de Paris : Bicêtre, la Conciergerie et l’Hôtel de Ville.

Durée :
Cinq semaines, à partir du moment où le protagoniste est condamné à mort jusqu’au moment où il monte sur l’échafaud.

Thèmes :

La peine de mort / La peur / la haine / la religion / la violence contre les prisonniers / l’injustice / la justice

Enonciation, focalisation :

Le narrateur est le personnage : utilisation de la première personne.
Le narrateur # l’auteur.
Focalisation interne : accès au point de vue du narrateur et à sa vision des choses et du monde..






CADRE SPATIO-TEMPOREL :


L’histoire se passe dans
les grandes prisons de Paris : Bicêtre, la Conciergerie et l’Hôtel de
Ville. Elle dure cinq semaines, le temps qui passe depuis le moment où
le protagoniste est condamné à mort jusqu’au moment où il monte sur
l’échafaud pour être guillotiné.
Chapitre I : « 5 semaines ».
Chapitre
VIII : le narrateur dresse un calendrier approximatif du temps qu’il
lui reste à vivre : il est déjà dans la dernière semaine.






synopsis



Le livre se présente comme le journal
qu'un condamné à mort écrit durant les vingt-quatre dernières heures de
son existence et où il relate ce qu'il a vécu depuis le début de son
procès jusqu'au moment de son exécution soit environ six semaines de sa
vie. Ce récit, long monologue intérieur, est entrecoupé de réflexions
angoissées et de souvenirs de son autre vie, la vie d’avant. Le lecteur
ne connaît ni le nom de cet homme, ni ce qu’il a fait pour être condamné
(il existe quelques vagues indications qui laisseraient croire qu’il a
tué un homme) : l’œuvre se présente comme un témoignage brut, à la fois
sur l’angoisse du condamné à mort et ses dernières pensées, les
souffrances quotidiennes morales et physiques qu’il subit et sur les
conditions de vie des prisonniers, par exemple dans la scène du ferrage
des forçats. Il exprime ses sentiments sur sa vie antérieure et ses
états d’âme…



Le personnage principal

Le
personnage du roman est un être ordinaire, ni un héros, ni un truand.
Il semble cultivé, sait lire et écrire et connaît même quelques mots en
latin. La richesse de son vocabulaire fait contraste avec l'argot parlé
par la friauche ou chanté par la jeune fille. Mais on ne décèle en lui
aucune grandeur particulière, il est le jouet de sentiments classiques :
la peur, l'angoisse, la colère, l'amertume, la lâcheté, l'égoïsme, le
remord... Jusqu'au bout, il espère sans y croire un grâce royale qu'il
n'obtiendra jamais.

On découvre quelques bribes de sa vie passée
: il a une mère et une femme qui sont évoquées brièvement, l'homme
semble être résigné sur leur sort. On s'attache plus longuement sur
l'évocation de sa fille Marie qui est la seule visite qu'il reçoit avant
son exécution mais qui ne le reconnaît pas et croit son père déjà mort.
Il raconte aussi sa première rencontre amoureuse avec Pepa, une fille
de son enfance. On ne sait rien de son crime, sinon qu'il reconnaît
mériter la sentence et qu'il tente de s'en repentir. Croyant, il n'a
cependant pas une spiritualité telle qu'il puisse trouver dans la prière
la consolation, ni suivre le discours du prêtre qui l'accompagne du
matin jusqu'à l'heure de son exécution.

Le faux chapitre XLVII, censé raconter sa vie est vide.

Victor
Hugo s'est longuement expliqué sur l'anonymat de son personnage. Il ne
voulait pas qu'on puisse s'attacher à l'homme, en faire un cas
particulier, dire « celui-là ne méritait pas de mourir mais d'autres
peut-être.... » Il devait représenter tous les accusés possibles,
innocents ou coupables car selon Victor Hugo, la peine de mort est une
abomination pour tous les condamnés.

Tanawiyaty




Le schéma narratif du récit:

Situation initiale:
Le personnage-narrateur menait une vie heureuse avec sa famille, sa
fille Marie, sa femme et sa mère jusqu'au jour du crime qui a bouleversé
sa vie.

NB: Le récit commence in medias res c'est-à-dire
le moment où l'action est déjà engagée. Puisque le plus important est
la contestation de la peine de mort, l'auteur fait ellipse de cette
situation initiale et passe directement aux faits. Toutefois il nous est
facile de déduire cette situation initiale à travers les flashes back.
(Analepses, retour en arrière).

Elément perturbateur: Le meurtre commis par le narrateur-personnage.

Péripéties: Le jugement, l'emprisonnement, la condamnation à la peine de mort, recherche du condamné d'une solution pour préserver sa vie.

Dénouement:
Il n'y a pas de dénouement. Le condamné garde l'espoir jusqu'à quelques
moments avant l'exécution, mais à ce moment-là les bourreaux préparent
l'exécution. C'est une clausule ouverte, aux lecteurs d'imaginer la fin
puisque pour l'auteur ce qui compte c'est la dénonciation de l'horrible
peine de mort.

Situation finale: L'auteur a fait l'ellipse de la situation finale pour amener le lecteur à réfléchir.




LE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNÉ 4699_kerz%5B1%5D

Le schéma actanciel du récit







Personnages




le condamné à mort :
nous
ne savons ni son nom ni ce qu’il a fait pour être condamné a mort. Il a
très peur et il voudrait être sauvé par la grâce du roi, mais il sait
que cela est impossible. Il semble s’être repenti pour ce qu’il a fait.
Il est jeune, sain et fort, il a une bonne éducation (il cite des
phrases en latin au concierge qui lui permet de faire la promenade une
fois par semaine avec les autres détenus, chap. V ; second tome des
voyages de Spallanzani dont il lit quelques pages à côté d’une jeune
fille, chap.XXXIII). Il dit que pour lui le temps passe plus vite que
pour les autres. Il n’aime pas la foule et il ne l’aimera jamais et
lui-même n’a jamais aimé voir tuer un condamné à mort. Il aime sa
fillette Marie et est très préoccupé pour son futur : chap. XXVI :
"Quand elle sera grande ... Elle rougira de moi et de mon nom ; elle
sera méprisée, repoussée, vile à cause de moi qui l’aime de toutes les
tendresses de mon coeur."

les geôliers:
quelqu’uns
sont gentils avec le protagoniste ; d’autres ne le sont pas. Il y a des
geôliers qui parlent avec lui et lui demandent beaucoup de choses et
d’autres qui le traitent comme un animal.

Sa fillette:
Elle
s’appelle Marie et elle a trois ans au moment de sa visite en prison.
C’est une fillette qui a très envie de vivre. Mais quand elle parle avec
le protagoniste, elle dit que son père est mort (c’est ce que lui a dit
sa mère) : elle ne reconnaît plus son père qu’elle ne voit plus depuis
plusieurs mois.

Sa femme et sa mère :
Elles
ne sont pas décrites ; mais elles sont citées en référence à la
souffrance, à la peine indirecte que l’on fait subir aux membres de la
famille du condamné a mort : "J’admets que je sois justement puni ; ces
innocentes qu’ont-elles fait ? N’importe ; on les déshonore, on les
ruine. C’est la justice." (chap.IX)

Le prêtre:
Il
est détaché dans ses rencontres avec le condamné. Selon le
protagoniste, ce prêtre ne parle par avec son coeur, mais dit seulement
de façon machinale ce qu’il dit habituellement avec les condamnés.

La foule :
C’est
la société (de Paris) qui veut voir tuer cet homme. Elle est très
nombreuse. Elle ne veut pas la justice ; elle veut simplement assister à
un spectacle : celui de l’exécution de la peine capitale par la
guillotine. On peut donc affirmer que de quelque manière la foule et le
condamné sont proches l’une de l’autre au niveau moral.






LE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNÉ 4699_1209814837

"le dérnier jour d'un condamné"





Cliquez ici pour voir le film





LE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNÉ 4699_general



Dans
la prison de Bicêtre, un condamné à mort ( le narrateur) attend le jour
de son exécution. Jour après jour, il note ses angoisses, ses espoirs
fous et ses pensées. Le narrateur nous rappelle les circonstances de son
procès ( chapitres 1/9 ).Puis il nous décrit sa cellule ( chapitre
10/12 ). Il évoque ensuite le départ des forçats au bagne de Toulon (
chap. 13/15 ). Il nous rapporte la complainte en argot d'une jeune femme
à l'infirmerie ( chapitre 16 ) .Désespéré, il décide alors de s'évader (
chapitre17). on vient lui apprendre que son exécution aura lieu le jour
même.( chapitre 18/19 ).

Le narrateur sera transféré ensuite à
la conciergerie ( chap. 22) , il y rencontre un autre condamné à mort (
chap. 23/24). Son séjour en prison devient de plus en plus suffocant .il
sombre dans les hallucinations et les cauchemars .Il se demande comment
on meurt sous la guillotine. ( chap. 27). Il reçoit après la visite
d'un prêtre qu'il trouve placide et sans compassion devant son état. (
chap30)

La visite de sa petite fille Marie sera évoquée au chapitre 43. Elle ne le reconnaitra pas, ce qui l'attriste profondément.

Puis
vient l'ultime ligne droite avant la mort; son dernier jour de
condamné. Sur son passage de la conciergerie à la place de Grève où se
dresse l'échafaud, la foule rit et applaudit: le condamné était donné en
spectacles à cette foule qu'il n 'a jamais aimé d'ailleurs. Devant le
spectre de la mort, le narrateur tremble et implore la pitié mais il
sait déjà que son sort est scellé. Le bourreau accomplit alors sa tâche
pour décapiter le condamné.





LE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNÉ 4699_resume2

Le
livre est l'histoire d'un homme qui a été condamné a mort et, alors, il
se propose d'écrire ce qu'il vit pendant ses dernières semaines de vie.
Nous ne savons ni le nom de cet homme ni ce qu'il a fait pour être
condamné à mort, mais nous pouvons comprendre et vivre avec cet homme ce
que veut dire être condamnés à mort.

Cet homme nous dit tout ce
qu'il fait quand il est en prison ; il devient aussi le spectateur de
la scène horrible du ferrage des forçats. Puis il pense au moment où il
devra aller à la guillottine ; il a peur mais il ne veut pas que les
autres le sachent.

Il continue à espérer dans la grâce qu'il n'aura jamais.

Il
nous parle aussi de sa fille et du jour où il a pu la voir et il nous
dit qu'il a été content parce qu'il a pu la voir, mais il n'est pas
content parce qu'elle ne l'a pas reconnu. Il nous décrit quelque aspect
de son passé : une rencontre avec une jeune fille; il décrit des
monuments qu'il a vus.

Il cesse d'écrire quand le moment de
l'exécution est arrivée : "Quatre heures". Le livre est séparé en trois
parties : Bicêtre, la Conciergerie et la Mairie qui sont elles-mêmes
séparées en trois parties : Bicêtre : le procès, le ferrage des forçats
et la chanson ; la Conciergerie : le voyage vers Paris, la rencontre
avec la friauche et la rencontre avec le geôlier qui lui demande les
numéros pour jouer à la loterie ; enfin l'Hôtel de Ville : le voyage
dans Paris, la toilette du condamné et le voyage vers la Place de Grève
où est installé l'échafaud.








Composition de l’œuvre.



Le livre est découpé en
49 chapitres de longueurs très variables allant d'un paragraphe à
plusieurs pages. Victor Hugo rythme ainsi la respiration du lecteur et
lui fait partager les états d'âme du condamné, ses éclairs de panique et
ses longues souffrances. On distingue trois lieux de rédaction
Bicêtre
où le prisonnier évoque son procès, le ferrage des forçats et la
chanson en argot. C'est là qu'il apprend qu'il vit sa dernière journée.
La
Conciergerie qui constitue plus de la moitié du livre. Le condamné y
décrit son transfert vers Paris, ses rencontres avec la friauche,
l'architecte, le gardien demandeur de numéros de loterie, le prêtre, sa
fille. On partage ses souffrances, son angoisse devant la mort, sa
repentance, sa rage et son amertume.
Une chambre de l'Hôtel de Ville
où sont écrits les deux derniers chapitres, un très long relatant sa
préparation et le voyage dans Paris jusqu'à la guillotine, l'autre très
court concernant les quelques minutes qui lui sont octroyées avant
l'exécution.

On remarque aussi plusieurs rétrospectives qui sont souvent des chapitres :
Chapitre II : Le procès
Chapitre IV et V : le transfert et la vie quotidienne à Bicêtre
Chapitre XIII et XIV : le ferrage et le départ des forçats
Chapitre XXVIII : le souvenir de la guillotine
Chapitre XXXIII : Pepita

Descriptions présentes :
celle de Bicêtre au chapitre 4
celle du cachot au chapitre 10
celle de l’Hôtel de Ville au chapitre 37
celle de la place de Grève au chapitre 3

Diverses informations :
chapitre 8 : l’homme compte les jours qu’il lui reste à vivre
chapitre 9 : l’homme pense à sa famille
chapitre 13 :le ferrage des forçats
chapitre 16 : chanson d’une jeune fille lorsque l’homme séjourne à l’infirmerie
chapitre 22 : transfert du prisonnier à la Conciergerie
chapitre 23 : rencontre du successeur au cachot de Bicêtre
chapitre 32 : demande du gendarme par rapport aux numéros de la loterie
chapitre 42 : rêve avec la vieille dame
chapitre 43 : le condamné voit une dernière fois sa petite fille qui ne le reconnaît pas
chapitre 48: transfert à l’Hôtel de Ville
toilette du condamné
on emmène le prisonnier à la guillotine.

Tanawiyaty






Résumé chapitre par chapitre 1





Résumé du chapitre I :
Le roman s’ouvre par une réflexion sous forme d’un monologue interne :
Interprété
dans sa cellule de Bicêtre, le narrateur se rappelle son passé de
liberté cependant il se trouve prisonnier de l’idée de sa condamnation à
mort. Cette pensée l’obsède et infecte sa vie. Elle est présentée comme
une femme à deux bras qui le secoue, hante ses rêves et le poursuit
partout.
Résumé du chapitre II :
Récit de la proclamation de la condamnation à mort :
Le
narrateur relate les événements passés le jour de la proclamation de sa
condamnation à mort. Il décrit aussi les juges, les jurés, la salle
d’audience, l’atmosphère qui y régnait et les gens qui ont assisté à son
procès. Séduit par les lumières, par les couleurs, par les bruits, le
narrateur chante la vie à travers ses sensations et ses impressions dans
une ambiance totalement contradictoire. Alors qu’il semble apprécier la
vie dans toutes ses dimensions, les jurés le condamnent à mort et
brisent son espoir. Tout redevient noir et triste à ses yeux.
Résumé chapitre III
Retour au monologue interne :
Le
narrateur se livre à une réflexion sur le bien-fondé de sa condamnation
à mort. Il estime que les humains sont tous des condamnés à mort. Ce
qui diffère c’est la manière et le temps.
Résumé chapitre IV
Retour au récit de l’incarcération à Bicêtre :
L’arrivée
à Bicêtre. En attendant son pourvoi (=recours auprès d'une juridiction
supérieure contre la décision d'un tribunal) en cassation, le narrateur
est conduit à la prison de Bicêtre. De loin le prison ressemble à un
château de roi mais de plus près elle est délabrée(=en ruine, dans un
très mauvais état) et vétuste (=qui porte les marques de la vieillesse).

Résumé du chapitre V
Suite du récit de l’incarcération à Bicêtre :
Lorsque
le narrateur est arrivé à Bicêtre, les gardes lui ont défendu tout
objet tranchant qui pourrait servir à un suicide puis ils lui ont remis
une camisole. Durant les premiers jours de ses séjours à Bicêtre le
narrateur a été bien traité mais battu par la suite comme n’importe quel
prisonnier. Cependant certaines faveurs lui ont été acceptées comme le
papier, l’encre, les plumes et une lampe. De même, il pouvait sortir
dans la cour chaque dimanche, ainsi il a côtoyé les autres prisonniers
et a appris leur argot.
Résumé du chapitre VI
Alors le
narrateur a décidé de noter son journal de châtiments. L’écriture
devient une justification à la vie terne et monotone de la prison. Il
décide d’écrire pour communiquer ses souffrances morales afin d’amener
les décisions a abolir la peine de mort. Il réalise à qu’ il s’attache à
la vie.
Résumé du chapitre VII
Le narrateur
s’attarde sur sa situation et espère qu’on s’intéresserait un jour à son
cas. Mais l’idée de sa condamnation continue de l’obséder et le
torturer
Résumé du chapitre VIII
En attendant
son pourvoi en en cassation, le narrateur passe son temps à compter les
jours qui lui restent à vivre, il lui reste donc six semaines.
Résumé du chapitre IX
Le narrateur
regrette de laisser derrière lui sa femme, sa mère et surtout sa fille
de trois ans sans protection et sans ressources.
Résumé du chapitre X
Le narrateur
décrit sa cellule, c’est une petite pièce à quatre murs en pierre avec
une voûte et une petite porte en fer où il y a une petite ouverture
servant de fenêtre. Il y a aussi un matelas en paille. A l’extérieur il y
a un couloir qui relie les autres cellules et un garde permanent
Résumé du chapitre 11
Pour passer le
temps le narrateur lit et tente de comprendre les inscriptions et les
dessins sur les murs de sa cellule. Attiré par des mots écrits par un
sous-officier guillotiné pour ces idées républicaines, il est pris de
panique à la vue de l’échafaud dessiné sur le mur.
Résumé du chapitre 12 :
Le narrateur
découvre les noms de quatre criminels célèbres passés par la même
cellule. Les sont écrits à coté du nom de Papavoine, un criminel qui
tuait les enfants. Il est alors pris de terreur à l’idée de la mort et
du tombeau.
Résumé du chapitre 13
Récit des préparatifs au départ des forçats pour Toulon :
Le
narrateur raconte qu’un jour la prison était très agitée par le départ
des forçats pour Toulon, Mis dans une autre cellule pour suivre ce
spectacle à travers une fenêtre, le narrateur s’attarde sur la
description de la grande cour de Bicêtre, des bâtiments vétustes, des
fenêtres grillées et principalement sur les visages des prisonniers qui
regardent à travers ces fenêtres. Le spectacle du départ commence à midi
avec l’entée (=greffer) d’une charrette transportant des chaînes
servant à attacher les forçats et portant les habits qu’ils vont mettre
pour le départ. Ensuite, les argousins étendent ces chaînes dans un coin
de la cour. Quand ce travail est fini, l’inspecteur donne l’ordre au
directeur pour laisser enter les forçats dans une petite cour où ils
sont acclamés par les prisonniers / spectateurs. Puis on les présente à
l’appel après leur avoir fait passer une visite médicale. Au moment où
les forçats se préparent pour mettre les vêtements du voyage, une pluie
torrentielle commence à tomber. Accablés de froid dans leur nudité, les
forçats chantent leurs malheurs. Enfin, on les enchaîne dans des cordons
que deux forgerons fixent à leurs pieds et on leur donne à manger. Ce
spectacle désolant rend le narrateur enragé, il tente de s’enfouir mais
il n’arrive pas et s’évanouit sur le champ.
Résumé du chapitre 14
Après s’être
transporté à l’infirmerie, le narrateur a repris connaissance, il s’est
enroulé ensuite dans ses draps et sa couverture dont la chaleur lui a
donné l’envie de se rendormir. Mais le bruit de cinq charrettes
transportant les forçats le réveille. Conduit par des gendarmes à cheval
et des argousins à pieds, le convoi prend départ pour un voyage de
vingt cinq jours de souffrances et de misères. Emu par ce spectacle
désolant, le narrateur préfère la guillotine à la galère.
Résumé du chapitre 15
Retour au
cachot, le narrateur est remis dans son cachot. L’idée de sa
condamnation continue de le torturer moralement au point où il espère
obtenir une grâce car il tient à la vie plus que jamais. Mais il est
trop tard.
Résumé du chapitre 16
Quand le
narrateur était à l’infirmerie, il avait entendu la voix d’une jeune
fille de quinze ans chanter une chanson où il est question d’assassinat
et de mort. Il fut terrifié parce que tout est prison à Bicêtre, tout
lui rappelle la mort.
Résumé chapitre 17
Le narrateur rêve
d’évasion mais son rêve ne peut être réalisé, il est interrompu par
l’idée de l’incarcération et de la condamnation.
Résumé du chapitre 19
Le directeur de
la prison rend visite au narrateur dans son cachot pour lui demander
s’il se plaint d’un quelconque mauvais traitement. Pris de panique, le
narrateur croit que l’heure de son exécution est venue.
Résumé du chapitre 20
Terrifié, le
narrateur imagine la prison comme une sorte de monstre à moitié humain, à
moitié objet qui le torture, le boire et le tue.
Résumé du chapitre 21
A six heures et
demi du matin le narrateur a été visité dans son cachot par un prêtre
puis par l’huissier (officier ministériel chargé de signifier les actes
de procédure et de mettre à exécution les jugements de la Cour royale de
Paris qui lui apprendre le rejet de sa demande du pourvoi en cassation
et son transfert à la Conciergerie.
Résumé du chapitre 22
Le narrateur
quitte son cachot et se fait conduire dans la voiture qui l’a ramené à
Bicêtre vers Paris, le convoi arrive à Paris vers huit heures et demi du
matin. La foule, avide de sang, s’est déjà attroupée pour ne pas
manquer l’exultation.
Résumé du chapitre 23
Une fois arrivé
au Palais de Justice, le narrateur s’est senti investi d’une certaine
liberté qui n’a pas tardé à disparaître à la vue des sous-sols. Remis
par l’huissier au directeur, le narrateur a été enfermé dans un cabinet
en compagnie d’un autre condamné âgé de 55 ans et qui attend à son tour
son transfert à Bicêtre. Après avoir entendu l’histoire du vieux, le
narrateur a échangé, par peur, sa redingote contre la veste du
vieillard. Enfin il est reconduit à une chambre dans l’attente de son
exécution.
Résumé du chapitre 24
Le narrateur regrette amèrement l’échange de sa redingote qui n’était que par peur.
Résumé du chapitre 25
Le
narrateur est amené ensuite à une cellule où on lui a donné une table,
une chaise et tout pour écrire. Mais on a installé avec lui un gendarme
pour empêcher toute tentative du suicide.
Résumé du chapitre 26
Le narrateur a
écrit une lettre à sa fille dans laquelle il exprime toute sa douleur et
son amertume. Il accuse les hommes de vouloir laisser une enfant de
trois ans orphelin. L’attente de l’exécution semble exercer un effet
terrifiant sur le narrateur qui espère un miracle pour le sauver.
Résumé du chapitre 27
Le narrateur est
pris dans un tourbillon de peur et de terreur au point où il n’ose pas
écrire le mot « guillotine ». il imagine que son exécution sera atroce.
Résumé du chapitre 28
Ayant déjà
assisté à une exécution, le narrateur imagine comment sera la sienne. Il
croit que les préparatifs ont déjà commencé par le graissage de la
rainure.

Résumé du chapitre 29
Dans un moment de délire, le narrateur espère la grâce royale mais en vain
Résumé du chapitre 30 :
Le prêtre est
revenu consoler le narrateur et l’assister dans ces derniers moments. Le
prêtre qui exerce cette fonction depuis des années se fait renvoyé par
le narrateur qui veut rester seul pendant sa réflexion.
Résumé chapitre 31
Dans ces derniers
moments de retranchement, l’architecte de la prison est entré dans la
cellule où se trouve le narrateur pour prendre des mesures afin de
rénover les murs l’année suivante puis il échange des propos avec le
narrateur avant de se faire renvoyé par le gendarme.
Résumé du chapitre 32 :
Le gendarme
chargé de surveiller le narrateur a été échangé par un autre, un
superstitieux et mordu des loteries. Il supplie le narrateur de le
visiter dans ces rêves, une fois mort, pour lui donner des numéros
gagnants. Le narrateur lui demande en échange ses vêtements en vue d’une
éventuelle évasion, mais le gendarme ridicule refuse et le désespoir
regagne le narrateur.
Résumé du chapitre 33
Le narrateur
sentant l’heure de la mort approcher se réfugie dans le rêve. Il
retrouve des souvenirs d’enfance et de jeunesse en compagnie de sa
bien-aimée la petite Espagnole Pepa. Il garde surtout le souvenir d’une
soirée passée ensemble où ils sont échangés des bises.
Résumé du chapitre 34
Le narrateur
retrouve dans le souvenir ses années d’innocence mais il revoit en crime
et tente de se repentir. Malheureusement il n’a pas le temps de le
faire. Il en pense qu’à son heure qui approche.
Résumé du chapitre 35
Le narrateur envie les gens ordinaires qui vaquent à leurs taches quotidiennes.
Résumé du chapitre 36
Le narrateur se
rappelle le jour où il est allé voir la cathédrale Notre-Dame de Paris.
Au moment où il est arrivé au sommet de la tour, la cloche a sonné et a
fait trembler tout le toit. Heureusement il a évité une chute mortelle.
Résumé du chapitre 37
Le narrateur
revoit l’Hôtel de Ville dont l’aspect triste lui rappelle la Grève au
moment des exécutions avec les rassemblements des spectateurs.
Résumé du chapitre 38
L’heure de
l’exécution approche, il ne lui reste que deux heures et quarante cinq
minutes. Le narrateur ressent alors des douleurs physiques atroces.
Résumé du chapitre 39
Le narrateur
imagine comment il va vivre le moment de son exécution. Il vit ce moment
par prévision. Mais le fait d’y penser le fait souffrir davantage.
Résumé du chapitre 40
Poussé par son instinct de survie , le narrateur pense au roi Charles X en espérant une éventuelle grâce.
Résumé du chapitre 41
Le narrateur
décide d’affronter la mort avec courage. Il imagine alors ce que sera sa
vie après la mort. Cela pourrait être des abîmes de lumières sans fin
ou des gouffres hideux où tout sera noir et où le narrateur tombera sans
cesse. Il imagine aussi les morts pourraient se rassembler dans la
place de la Gréve pour assister à l’exécution du bourreau par un démon.
Le narrateur voudrait savoir ce qu’il adviendra de son âme après la
mort. Dans ce moment de crise à l’approche de l’exécution le narrateur
réclama un prêtre pour soulager sa douleur
Résumé du chapitre 42
Après l’arrivée
du prêtre, le narrateur a dormi pendant quelques instants. Il a fait
alors un rêve étrange : il rêve qu’il était chez lui avec des amis,
qu’ils avaient parlé de quelque chose qui les avait effrayés puis ils
avaient entendu un bruit dans la maison, c’était une vielle femme qui
s’était cachée dans la cuisine. Au moment où il a rêvé que la vielle le
mordait, il s’est réveillé puis on lui a annoncé la présence de sa
fille.
Résumé du chapitre 43
Malheureusement
sa fille ne l’a pas reconnu. Elle ne l’a pas vu depuis un an. Il a tenté
de lui faire comprendre qu’il est son vrai père mais la fille ne l’a
pas cru. Rien ne le rattache à présent à la vie. Il se laisse conduire à
la mort docilement.
Résumé du chapitre 44
Pendant l’heure
qui lui reste à vivre le narrateur se ressaisit et revoit dans son
esprit comment sera son exécution. Il pense au bourreau, à la foule, aux
gendarmes et à la place de Grève.
Résumé du chapitre 45
Il imagine la
foule en train de l’applaudir, une foule insensible à ses souffrances.
Il pense à ce lieu fatal qui est la place de Grève et à toutes les têtes
qui tomberaient après lui dans l’indifférence totale.

Résumé du chapitre 46
Il pense à sa fille qui l’a déjà oublié et veut lui écrire une histoire.
Résumé du chapitre 47
Note :
Le narrateur n’avait pas le temps pour écrire son histoire.
Résumé du chapitre 48
L’heure de
l’exécution est arrivé, on demande au narrateur de se préparer mais il
se sent faible. On l’a emmené dans une chambre au rez-de-chaussée du
palais de Justice où son bourreau avec ses deux valets l’attendait. On
lui a coupé les cheveux puis on lui a attaché les mains derrière le dos
et on a coupé le col de sa chemise ensuite on lui a lié les deux pieds
puis on lui a noué les deux manches de sa veste sur le menton. On l’a
pris sous les aisselles pour le conduire à la guillotine. La foule est
là qui attend hurlante. Les gendarmes, les soldats sont aussi là pour
accompagner le condamné. Mis dans une charrette avec le prêtre, le
narrateur frémit de peur devant cette foule enragée. Sur le chemin qui
mène à la place de Grève la foule s’est attroupée. Sous une pluie fine
la charrette passe par le pont- au- Change, par le quai aux Fleurs puis
par la coin du Palais. Attiré par une Tour, le narrateur demande au
prêtre des informations sur cet édifice. Ce dernier lui a dit qu’elle
s’appelle crucifix et le baise pour avoir du courage à affronter la
foule qui semble l’effrayer plus que la mort.
Passant par le quai,
le narrateur entre dans une sorte d’ivresse qui enveloppe son esprit et
le coupe de la réalité au point où il ne distingue plus rien. Son corps
commence à sentir la mort. Tout défile devant ses yeux sans qu’il puisse
y accorder la moindre attention. Seule la voix de la foule se fait
entendre. Enfin la charrette arrive à la place de Gréve, le narrateur
demande alors une dernière faveur : écrire ses dernières volontés.
Résumé du dernier chapitre 49
Poussé
par son instinct de la survie, le narrateur supplie un commissaire
chargé de suivre l’exécution de lui accorder cinq minutes dans l’espoir
d’avoir une grâce au dernier moment. Malheureusement on est venu le
chercher à quatre heures de l’après-midi pour l’exécuter.
Fin







Résumé de l'oeuvre : chapitre par chapitre 2



CHAPITRE1

Depuis
cinq semaines, un jeune prisonnier vit constamment avec l’idée de la
mort. Il est doublement enfermé. Physiquement, il est captif dans une
cellule à Bicêtre. Moralement, il est prisonnier d’une seule idée :
condamné à mort. Il se trouve dans l’impossibilité de penser à autre
chose.

CHAPITRE2

De sa cellule, le narrateur se
souvient de son procès et de sa condamnation à mort. Il relate les
circonstances de son procès et sa réaction au verdict fatal.

CHAPITRE3

Le
condamné semble accepter ce verdict. Il ne regrette pas trop de choses
dan,s cette vie où tous les hommes sont des condamnés en sursis. Peu
importe ce qui lui arrive.

CHAPITRE4

Le condamné est transféré à Bicêtre. Il décrit brièvement cette hideuse prison.

CHAPITRE5

Le
narrateur nous parle de son arrivée à la prison. Il a réussi à
améliorer ses conditions de prisonnier grâce à sa docilité et à quelques
mots de latin. Il nous parle ensuite de l’argot pratiqué en prison.

CHAPITRE6

Dans
un monologue intérieur, le prisonnier nous dévoile sa décision de se
mettre à écrire. D’abord, pour lui-même pour se distraire et oublier ses
angoisses. Ensuite pour ceux qui jugent pour que leurs mains soient
moins légères quand il s’agit de condamner quelqu’un à mort. C’est sa
contribution à lui pour abolir la peine capitale.

CHAPITRE7

Le narrateur se demande quel intérêt peut-il tirer en sauvant d’autre têtes alors qu’il ne peut sauver la sienne.

CHAPITRE8

Le
jeune condamné compte le temps qui lui reste à vivre. Six semaines dont
il a déjà passé cinq ou même six. Il ne lui reste presque rien.

CHAPITRE9

Notre
prisonnier vient de faire son testament. Il pense aux personnes qu’il
laisse derrière lui : sa mère, se femme et sa petite fille. C’est pour
cette dernière qu’il s’inquiète le plus.

CHAPITRE10

Le
condamné nous décrit son cachot qui n’a même pas de fenêtres. Il décrit
aussi le long corridor longé par des cachots réservés aux forçats alors
que les trois premiers cabanons sont réservés aux condamné à la peine
capitale.

CHAPITRE11

Pour passer sa longue nuit,
il se lève pour nous décrire les murs de sa cellule pleins
d’inscriptions, traces laissées par d’autres prisonniers. L’image de
l’échafaud crayonnée sur le mur le perturbe.

CHAPITRE12

Le
prisonnier reprend sa lecture des inscriptions murales. Il découvre les
noms de criminels qui ont déjà séjourné dans cette triste cellule.

CHAPITRE13

Le
narrateur- personnage se rappelle d’un événement particulier qui a eu
lieu il y a quelques jours dans le cour de la prison : le départ des
forçats au bagne de Toulon. Il nous rapporte cet événement comme un vrai
spectacle en trois actes : la visite médicale, le visite des geôliers
et le ferrage. Il nous parle du traitement inhumain réservé à ces
condamnés. A la fin du spectacle, il tombe évanoui.

CHAPITRE14

Quand
il revient à lui, il se trouve dans l’infirmerie. D’une fenêtre , il
peut observer les forçats partir tristement sous la pluie au bagne de
Toulon. Il préfère plutôt la mort que les travaux forcés.

CHAPITRE15

Le
prisonnier est dans sa cellule. Il avait senti un peu de liberté dans
l’infirmerie mais voilà qu’il est repris par l’idée de la mort qu’il
pense à s’évader.

CHAPITRE16

Le narrateur se
rappelle de ces quelques heures de liberté à l’infirmerie. Il se
souvient de cette jeune fille qu’il a entendu chanter de sa vois pure,
veloutée une chanson en argot.

CHAPITRE17

Il
pense encore à s’évader. Il s’imagine déjà en dehors de la prison dans
le port pour s’embarquer vers l’Angleterre mais voilà qu’un gendarme
vient demander son passeport : le rêve est brisé

CHAPITRE18

Il est six heures du matin. Le guichetier entre dans le cachot. Il demande à notre condamné ce qu’il désire à manger.

CHAPITRE19

Le
directeur de la prison vient en personne voir le condamné. Il se montre
doux et gentil. Le jeune comprend que son heure est arrivée.

CHAPITRE20

Le narrateur pense à son geôlier, à la prison qu’il trouve partout autour de lui, dans les murs, dans les guichetiers…

CHAPITRE21

Le
condamné reçoit deux visites. D’abord celle du prêtre et puis celle de
l’huissier. Ce dernier vient lui annoncer que le pourvoi est rejeté et
que son exécution aura lieu le jour même place de Grève. Il reviendra le
chercher dans une heure.

CHAPITRE22

Le
prisonnier est transféré à la Conciergerie. Il nous conte le voyage et
sa discussion avec le prêtre et l’huissier pendant le trajet. Il se
montre peu bavard et parait plutôt pensif. A huit heures trente, la
carriole est déjà devant la Cour.

CHAPITRE23

L’huissier
remet le condamné aux mains du directeur. Dans un cabinet voisin, il
fait une rencontre curieuse avec un condamné à mort qui séjournera dans
la même cellule à Bicêtre. Ce dernier, fils d’un ancien condamné à mort
lui raconte son histoire et s’empare de sa redingote .

CHAPITRE24

Le narrateur est enragé parce que l’autre condamné lui a pris sa redingote.

CHAPITRE25
Le
condamné est transféré dans une autre cellule. On lui rapporte, sur sa
demande une chaise, une table, ce qu’il faut pour écrire et un lit.

CHAPITRE26
Il
est dix heures. Le condamné plaint sa petite fille qui restera sans
père. Elle sera peut être repoussée, haie à cause de lui.

CHAPITRE27
Le narrateur se demande comment on pouvait mourir sur l’échafaud.

CHAPITRE28
Il se rappelle avoir déjà vu une fois monter une guillotine sur la place de Grève.

CHAPITRE29
Le
jeune détenu pense à cette grâce qui ne vient toujours pas. Il estime
maintenant que les galères seraient meilleure solution en attendant
qu’un jour arrive la grâce.

CHAPITRE30
Le prêtre
revient voir le condamné. Celui-ci est loin d’apprécier sa présence. Ce
prêtre parle machinalement et semble peu touché par la souffrance du
prisonnier. Ensuite, et bien que la table soit délicate et bien garnie,
il ne peut manger.

CHAPITRE31
Le narrateur est
surpris de voir un homme prendre les mesures de la cellule. Ironie du
sort : la prison va être rénovée dans six mois.

CHAPITRE32
Un
autre gendarme vient prendre la relève. Il est un peu brusque. Il
demande au prisonnier de venir chez lui après son exécution pour lui
révéler les trois bons numéros gagnants à la loterie . Le condamné veut
profiter de cette demande bizarre : il lui propose de changer ses
vêtements avec lui. Le gendarme refuse ; il a compris que le prisonnier
veut s’évader.

CHAPITRE33
Pour oublier son présent,
le narrateur passe en revue ses souvenirs d’enfance et de jeunesse.Il
s’arrête longuement sur le souvenir de Pepa, cette jeune andalouse dont
il était amoureux et avec qui il a passé une belle soirée d’été.

CHAPITRE34
Au
milieu de ses souvenirs de jeunesse, le condamné pense à son crime.
Entre son passé et son présent, il y a une rivière de sang : le sang de
l’autre ( sa victime) et le sien( le coupable)

CHAPITRE35
Le narrateur pense à toutes ces personnes qui continuent toujours à vivre le plus normalement au monde.

CHAPITRE36
Il se rappelle ensuite du jour où il est allé voir la grande cloche (le bourdon) de Notre-Dame (cathédrale à Paris)

CHAPITRE37
Le narrateur décrit brièvement l’hôtel de ville.

CHAPITRE38
Il
est une heure le quart. Le condamné éprouve une violente douleur. Il a
mal partout. Il lui reste deux heures quarante cinq à vivre.

CHAPITRE39
On
dit que sous la guillotine, on ne souffre pas, que cela passe vite. Le
narrateur se demande comment on peut savoir une telle chose puisque
aucun condamné déjà exécuté ne peut l’affirmer.

CHAPITRE40
Le
jeune détenu pense au roi. C’est de lui que viendrait la grâce tant
attendue. Sa vie dépend d’une signature. Il espère toujours.

CHAPITRE41
Le condamné se met dans la tête l’idée qu’il va bientôt mourir. Il demande un prêtre pour se confesser, un crucifix à baiser

CHAPITRE42
Il
se laisse dormir un moment. C’est son dernier sommeil. Il fait un
cauchemar et se réveille frémissant, baigné d’une sueur froide.

CHAPITRE43
La
petite Marie vient rendre visite à son père. Ce dernier est choqué
devant la fraîche et la belle petite fille qui ne le reconnaît pas. Elle
croit que son père est mort. Le jeune condamné perd tout espoir.

CHAPITRE44
Le détenu a une heure devant lui pour s’habituer à la mort. La visite de sa fille l’a poussé dans le désespoir.

CHAPITRE45
Il
pense au peuple qui viendra assister au « spectacle » de son exécution.
Il se dit que parmi ce public enthousiaste, il y a peut-être des têtes
qui le suivront , sans le savoir, dans sa fatale destination.

CHAPITRE46
La
petite Marie vient de partir. Le père se demande s’il a le temps de lui
écrire quelques pages. Il cherche à se justifier aux les yeux de sa
fille.

CHAPITRE47
Ce chapitre comporte une note de
l’éditeur : les feuillets qui se rattachent à celui-ci sont perdus ou
peut être que le condamné n’a pas eu le temps de les écrire

CHAPITRE48
Le
condamné est dans une chambre de l’hôtel de ville. A trois heures, on
vient l’avertir qu’il est temps. Le bourreau et ses deux valets, lui
coupent les cheveux et le collet avant de lier ses mains. Le convoi se
dirige ensuite vers la place de Grève devant une foule de curieux qui
attendent l’exécution.

CHAPITRE49
Le condamné demande
sa grâce à cette personne qu’il croyait juge, commissaire ou magistrat.
Il demande, par pitié, qu’on lui donne cinq minutes pour attendre la
grâce. Mais le juge et le bourreau sortent de la cellule. Il reste seul
avec le gendarme. Il espère encore mais voilà qu’on vient le chercher…











Arguments pour la peine capitale




_ Un meurtrier prive un individu de sa vie. De quel droit et au nom de quoi ?

_ Aucun individu ne peut se permettre d'une façon arbitraire de tuer, violer, etc.

_ la peine de mort n'est pas un moyen de répression mais une forme de prévention ou tout du moins de dissuasion.

_ Si la vie est sacrée pourquoi laisser le droit a certaines personnes d'en faire ce qu'elles veulent ?

_ En quoi une société se discrédite en adoptant la peine de mort ?

_.
Les crimes commis qui font mériter la peine de mort permettent-ils
encore de considérer l’assassin comme un être humain ? Les droits de
l’homme ne peuvent par conséquent plus être invoqués quand on parle de
peine de mort.


_ Les erreurs judiciaires : il ne faut pas non
plus exagérer. Ils sont totalement fiables. Oظ La question de la
condamnation des innocents n’est pas celle de la peine de mort, mais de
la faillibilité de la justice.

_. La peine de perpétuité est tout
aussi inhumaine : c’est condamner à vivre, tout en sachant qu’on ne
sortira jamais. En prison à perpétuité, le condamné perd le peu
d’humanité qui lui restait, et devient un animal.

_. Un meurtrier,
un violeur etc. n’a jamais l’impression d’avoir fait du mal, on ne peut
attendre qu’il mette lui-même un terme à ses jours

_. Il n’existe
aucune garantie que les condamnés à mort ou à perpétuité (selon les
pays) ne commettront pas à nouveaux leurs crimes s’ils sortent, même
très vieux. Mieux vaut supprimer totalement cette probabilité, même si
elle est infime. 4. mieux vaut une erreur judiciaire et la condamnation à
mort d’un suspect, que la mort de nouvelles victimes qui n’auront même
pas eu la chance de passer devant un tribunal. Il y aura toujours plus
de victimes de récidivistes libérés après une peine plus ou moins
longue, que de condamnés à mort par erreur.

_. Pour un criminel qui
deviendra un ange, combien seront libérés sous serment et recommenceront
une, dix, cent fois avant d’être repris ?

_. La majorité de la population est pour son rétablissement en France
_.
Cela ne fait pas revenir la victime, mais au moins les familles de
victimes sont apaisées, car elles savent qu’il n’est plus possible que
ce mal frappe à nouveau.

_. il est choquant de payer pour des
meurtriers que l’on garde en prison (à moins qu’ils ne paient leur dette
contractée envers la société par des travaux d’intérêt généraux par
exemple).

_. un récidiviste libéré peut, dans sa vie privée, même
s’il se conduit bien dans sa vie publique, reproduire le cercle vicieux
dont il a été lui-même victime : personne ne sera là pour vérifier qu’il
ne bat pas ses enfants, ou pire, par exemple. Il s’agit donc aussi de
casser ce cercle vicieux de la reproduction dont les psy nous parlent
tant.

_. nous ne savons pas si la peine de mort fait baisser le taux
de criminalité, mais ce dont on est sûr, c’est qu’elle ne le fait pas
monter ! Son impact n’est certainement pas nul. Choisissons donc la
solution dont nous sommes sûrs.

_. ce n’est pas être contre les
droits de l’homme que d’être pour la peine de mort, puisque la
perpétuité bafoue les droits et la dignité de l’homme (575 pers. en ‘9

_.
beaucoup de pays dits ‘non- démocratiques’ ont aboli la peine de mort :
Angola (1992), Azerbaïdjan (1998), Croatie (1990) , ةquateur (1906),
Georgie (1997), Haïti (1987), Honduras (1956), Lituanie (1998),
Mozambique (1990), Namibie (1990), Népal (1997), Nicaragua (1979),
Roumanie (1989), Timor Oriental (1999), etc (source écart-type) ;
Turquie (2002) (source : la Voix du Nord du 5.8.2002)

_. Des pays dits démocratiques ont encore la peine de mort (les Etats-Unis surtout, pour certains Etats, ainsi que le Japon)
_. On fait de l’assassin la victime, en s’occupant de lui et en lui trouvant des excuses (passé, éducation, etc.)
_.
Mieux vaut consacrer les ressources limitées dont notre société dispose
(hommes, temps, argent, etc.) pour développer celles et ceux qui n’ont
fait de mal à personne et qui le méritent largement plus, que de
s’occuper des anciens meurtriers et violeurs, pour qu’ils reviennent
dans le bon chemin.
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LE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNÉ

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